Le syndrôme de la page blanche

Selon l’encyclopédie, c’est une crainte qu’éprouve un écrivain de ne pas trouver l’inspiration au moment de commencer ou de poursuivre une œuvre. 

Cette peur est communément appelée “leucosélophobie”, provenant du latin leukos qui signifie “blanc” et selidos signifiant “page” (comme quoi les cours de latin du lycée servent à quelque chose !). 

Comme toutes les phobies, celle de la page blanche dépend de chacun : son intensité, sa durée, sa régularité et sa nature résultent de chaque personne qui s’y trouve confrontée. Mais ça n’empêche pas de demander conseil aux autres lorsqu’on la rencontre ! 

Le syndrôme de la page blanche peut arriver à tout le monde et sa cause est imprévisible. Le stress, le perfectionnisme, l’anxiété, le manque d’informations, le surplus d’informations, etc. Toutes les raisons sont valables pour se retrouver sans idées. Et pour rajouter une couche, nous pouvons facilement rentrer dans un cercle vicieux : on n’a pas d’inspiration, on fait un blocage, donc on n’a encore moins d’inspiration…

Il faut cependant bien prendre en compte un élément essentiel : ce syndrôme n’illustre aucunement une quelconque forme d’incompétence. La page blanche, ça arrive même aux meilleurs !

Chaque peur peut être bravée, et ça vaut aussi pour celle de la page blanche. 

On vous arrête tout de suite, il n’existe pas de solution miracle. Attendez ! Restez tout de même.

On a dit qu’il n’existait pas de solution miracle, mais il n’y a pas de problème sans solution pour autant. C’est seulement que celle-ci dépend encore une fois du tempérament de chacun, du projet concerné ou de la période de l’année parfois (les semaines précédant les vacances d’été par exemple, vous voyez très bien de quoi on parle ;) ).

Voici donc quelques petits conseils qui pourront certainement vous aider à vaincre le syndrôme de la page blanche : 

• S’inspirer du monde. Sur internet (avec des sites tels que Pinterest, Dribble ou Behance), dans les livres, les tableaux, chez les professionnels du même secteur d’activité que votre projet, ou dehors, dans la rue. L’inspiration peut venir de n’importe où ! Mais attention tout de même à ne pas plagier…
• Changer d’air. Ça peut paraître bateau, mais lorsque l’on bloque sur une tâche, parfois, le mieux à faire est d’y revenir plus tard. Baladez-vous en pleine nature, faites du sport, entamez une tâche annexe ou, comme les pixiens, coulez vous un café ou jouez à un jeu de société. S’acharner peut s’avérer être contreproductif par moment !
• Brainstormer. Vos capacités cérébrales sont en feu ? Vos collègues ou vos proches deviendront vos meilleurs alliés. Un regard extérieur est souvent synonyme d’objectivité et d’inspiration. Ce regard peut d’ailleurs venir de vous-même, levez-vous de votre chaise, reculez de quelques pas et surplombez votre travail de plus loin.
• Ressortir son crayon favori. Si vous avez une machine à écrire sous la main, c’est l’occasion de la sortir. À l’ancienne ! Les écrans peuvent parfois altérer notre inspiration, alors prenez une feuille de papier et écrivez, dessinez, gribouillez, élaborez un plan structuré... Les actions les plus simples se révèlent être les plus efficaces.

Parlons peu, parlons bien, parlons com’. 

Vous l’aurez peut-être compris de vous-même, le syndrôme de la page blanche affecte de nombreux domaines : la peinture, la poésie, l’écriture, le dessin, le graphisme, etc.

Chez Nerepix, nous sommes d’autant plus concernés car l’écriture et le graphisme sont présents dans nos prestations de communication. 

Nos graphistes et rédactrices sont habitués à l’élaboration d’éléments de communication pour nos clients, ils représentent un soutien créatif indispensable à nos dirigeants de TPE et PME. 

De plus, nous avons l’avantage d’être plusieurs collaborateurs avec beaucoup d'imagination ! 

La page blanche dans le graphisme

Quelle est la composante indispensable pour une entreprise ? 

Son logo. Et quelles sont les déclinaisons du logo ? Vous avez tout compris : les flyers, le webdesign, les brochures, les cartes de visite, les affiches, etc.

Tous ces supports de communication résultent d’un travail de recherche et de création poussé, qui peut vite être limité si le projet manque de détails ou de compréhension.

La conception d’une identité visuelle peut également être freinée si le projet comporte au contraire trop de détails, car cela ajoute des œillères nuisant à la créativité. Ce risque d'inhibition de l’imagination est d’autant plus alimenté lorsque les allers-retours client se multiplient, le ou la graphiste peut se sentir submerger voire perdu parmi trop d’informations ambivalentes. 

Si vous vous sentez concernés dans un de ces deux profils, vous pouvez compter sur les graphistes de Nerepix qui connaissent et maîtrisent leur métier sur le bout des doigts. Leur expertise et leur aptitude à utiliser les logiciels adéquats font d’eux les partenaires idéaux pour transformer vos idées en visuels.

Et c’est là que vous voulez savoir sur quels supports de communication ils peuvent agir : pour le découvrir, c’est juste ici.

La page blanche dans le community management et la rédaction web

Lorsque l’on est sollicité par plusieurs clients chaque semaine, il peut être facile d’être à court d’idées. 

Eh oui, maintenir la cadence de publication est un défi de taille. Le plus gros risque est de poster par devoir plus que par plaisir, car cela se ressent dans la qualité des posts sur les réseaux sociaux ou sur les articles sur le site web.

Si vous sentez que vous êtes victime du syndrôme de la page blanche, vous pouvez solliciter Nerepix pour que ses communicantes vous apportent un regard extérieur et vous fassent bénéficier de leur professionnalisme.

Pour connaître tous les domaines sur lesquels elles peuvent vous aider, direction la page dédiée sur notre site !

Vous l’aurez compris, le syndrôme de la page blanche s’immisce dans la vie de nombreuses personnes et c’est totalement normal. 

Pour pallier cette page blanche, que cela concerne le graphisme ou la rédaction, Nerepix peut vous fournir son expertise pour vous aider à noircir cette page avec des idées farfelues (ou plus sérieuses si besoin, on s’adapte à tout le monde !).